La guerre de l’information. Mardi 20 février à 20h30. MRSH.

Conférence-débat avec David COLON , historien, Sciences Po Paris.

Auteur d’ouvrages sur la propagande et les média.

« Avec l’essor d’Internet et de médias planétaires, la puissance des États, plus que jamais, dépend de leur capacité à mettre leurs moyens de communication au service de leur influence, en recourant à la cyberguerre, à la désinformation ou à l’instrumentalisation de théories du complot. À l’ère de l’intelligence artificielle et de la guerre cognitive, les médias sociaux sont le théâtre d’une guerre de l’information sans merci, sans fin, dont nos esprits sont l’enjeu. Peuvent-ils s’en libérer ? »

Amphithéâtre de la MRSH, Maison de la Recherche en Sciences Humaines

rue du Magasin à Poudre, Université de Caen.

7 février .Les « Mercredis de la Presqu’île » HABITER AUTREMENT : CAEN LE CITOYEN S’ENGAGE DANS LE RENOUVELLEMENT URBAIN

7 février 2024 / 18H00 – 20H00
Le Pavillon – Quai François Mitterrand – CAEN
Les « Mercredis de la Presqu’île »
HABITER AUTREMENT :
CAEN LE CITOYEN S’ENGAGE DANS LE RENOUVELLEMENT URBAIN
Soirée débat, ouverte à tous/toutes
Avec la participation de :
Christine LECONTE – Présidente du CNOA (Ordre des Architectes)
Élizabeth TAUDIÈRE – Directrice de Territoires Pionniers
Nathalie MONTIGNÉ – Directrice du Pavillon
Marie‐Liesse TARDIVEAU – Architecte, Association Vent d’Ouest

 

conférence-débat : Le souci du vrai, fondement de la démocratie?

amphithéâtre de la MRSH (Maison de la Recherche en Sciences Humaines, campus 1 , 12 octobre 2023 à 20h30 . (accès par la Rue du Magasin à Poudre).

Conférence-débat avec Fabien Robertson,  professeur de philosophie en classe préparatoire, membre du MAUSS.

« Vivre en démocratie, c’est avoir toute latitude pour chercher, faire connaître et obtenir toutes sortes d’informations. C’est mettre en avant le partage des idées et la confrontation des opinions. Personne n’est propriétaire d’une vérité et tout le monde est supposé y avoir accès;  du moins, en principe!

Or l’actualité politique, de l’échelle locale à celle de l’international, montre trop souvent à quel point l’exigence et le souci du vrai passent au second plan.  A l’égard de tout discours prétendant au vrai, la concurrence des points de vue et les tentations démagogiques, qui cherchent à séduire plutôt qu’à convaincre, nous poussent à nous méfier d’un régime qui encourage trop souvent à la défiance, au soupçon ou à l’indifférence.

 Est-ce à dire qu’en politique, le vrai n’est qu’un outil dont on peut se passer quand cela nous arrange, que l’exactitude et la sincérité perdent toute valeur authentique, que l’efficacité et l’opportunisme priment sur toute autre exigence ? »