Cet atelier travaille depuis plus de 10 ans avec des habitants s’intéressant aux questions urbaines au sein de Démosthène dans les domaines des migrations et des ségrégations urbaines, des espaces publics, des friches, du patrimoine, des plans d’aménagements urbains, etc. L’atelier continuera cette année à sensibiliser les habitants aux projets et aux réalisations en cours et à venir dans l’agglomération caennaise afin de mieux en cerner les enjeux et d’en éclairer les choix.

Droit des migrants

Collaboration CCFD-Terre Solidaire, ASTI 14, CITIM

La décision de l’ONU du 18 décembre 1990 d’adopter une Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille témoigne de la nécessité impérieuse de protéger davantage les droits des migrants. La France et les pays de l’Union européenne ne l’ont pas encore ratifiée contrairement aux signataires qui sont principalement les pays d’origine des migrants.

Malgré les engagements pris par les États pour promouvoir le respect des droits de l’homme énoncés dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et les autres instruments juridiques internationaux, de nombreux États continuent à commettre des violations graves des droits fondamentaux contre les personnes migrantes.
Nous vous invitons donc à la création d’un atelier inter associatif et ouvert à tous, indépendamment de ses différents engagements. Sa visée est de porter le débat autour de cette convention sur la place publique afin de poser clairement pour tous les enjeux de sa ratification. Outre le problème juridique de la reconnaissance de droits indépendante de sa nationalité pour toute personne, c’est aussi celui d’une gouvernance mondiale de leur application qui se pose. Le rôle de la société civile nationale et mondiale apparaît ici déterminant.
Un premier événement est envisagé le 18 décembre 2013 Journée mondiale du migrant. Vous êtes conviés à rejoindre ce nouvel atelier dès maintenant ou en cours d’année.

L’atelier, qui se réunit tous les mois dans les locaux de l’université se donne 3 axes majeurs de travail : mieux faire connaître les conditions de vie en prison ; permettre aux différents intervenants en milieu carcéral de se rencontrer et d’échanger ; mieux faire respecter les droits des prisonniers.

« Enjeux de science, risques de société. Savants et citoyens. Savoirs et responsabilités. »

Ce nouvel atelier permettra de réfléchir sur l’art contemporain, dans son rapport à la société contemporaine et plus particulièrement aux institutions chargées de le porter sur la scène publique. Quelle place a cette forme d’art dans la culture actuelle ? Peut-on encore parler, dans ce domaine, de démocratisation de la culture ? Dans quelle mesure les différents organismes chargés de la promouvoir parviennent-ils à faire leur travail ? Quel rapport entre le goût artistique et les choix politiques ?